Un secteur en plein essor

La branche du BTP fait à l'heure actuelle partie des catégories les plus dynamiques de la société française. C'est la raison pour laquelle de plus en plus de jeunes entrepreneurs se tournent vers la profession de maître d'oeuvre dans le bâtiment. Ce métier est exercé par la personne qui est en charge de la conception puis de la conduite opérationnelle des travaux, en général pour le compte de quelqu'un d'autre. Le terme de maître d'oeuvre peut aussi bien désigner une personne juridique, à savoir une entreprise, qu'une personne morale. Le maître d'oeuvre joue donc un rôle capital dans le déroulement des travaux, notamment parce qu'il conseille, supervise et conçoit l'ensemble des tâches à effectuer.

Une entreprise facile à mettre en place

Pour devenir maître d'oeuvre, inutile de préciser que les connaissances à détenir sont avant tout de nature technique. C'est à dire que l'entrepreneur doit avoir des notions soit d'ingénierie, soit de construction, soit d'architecture. la combinaison de ces trois compétences constitue bien entendu un atout majeur dans ce domaine. Par ailleurs, d’autres qualités telles que la capacité à travailler en équipe et à rester en contact avec le client peuvent jouer un rôle déterminant. D'une manière générale, la profession requiert surtout des qualités humaines qui ne sont pas forcément synonyme d'études longues ou théoriques. Ainsi, bâtir une entreprise de maître d'oeuvre demande avant tout de la volonté et une vision d'ensemble pertinente. Il s'agit enfin d'une activité idéale pour les amateurs de freelance qui souhaitent améliorer leurs revenus de base. C'est la raison pour laquelle les salariés sont les plus nombreux à se lancer dans le monde de la maîtrise d'oeuvre.

Un statut libre et indépendant

Chacun peut décider de devenir maître d'oeuvre tout en conservant son activité initiale, ce qui offre une liberté totale sur le plan professionnel. Concernant la fiscalité et les démarches administratives, il est conseillé d'adopter un statut d'auto-entrepreneur, garantissant peu de difficultés, des cotisations relativement faibles, ainsi que la possibilité de changer de statut à tout moment. Par exemple, au fur et à mesure que le projet se développer, il est possible d'obtenir un statut de SARL puis de SA, en fonction des fonds dont l'on dispose. De manière générale, il est relativement aisé de passer d'une situation à une autre, dans la mesure où l'Etat encourage le développement de ce genre d'entreprises. La seule difficulté réside dans l'assurance.

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